La comptine des rêves

« A l'heure des astres fous, bien heureux les croyants... »

« Dans le berceau des embruns, là où nul nuage n'est blanc »

« ...Finalement, la reine se drapera d'un carcan
Lorsque la Balade annoncera l'ouragan. »

« Sous l'augure des frimas, le joyau perdu se ternit...»

« Sur les dunes d'or et brûlantes, un bambin s'est assis..., »

« ... Assoiffé et éteint, son repos s'obscurcit. »

« ...Là où les morts se liguent, à l'ombre du dément. » (Clyde)

« ...Le dernier lit souillé a laissé partir son enfant. »

« ...Car en l'absence de rois, seule survit l'hystérie. »

A tous,

Vous n'aurez pas manqué de remarquer qu'Adusa a laissé son parchemin à votre disposition afin de noter les vers que vous auriez pu retenir, laissés par les rêves que nous avons tous fait.

De même, le fait qu'ils ne veuillent rien dire en l'état actuel des choses devrait sauter aux yeux de tous. Je suis conscient qu'il nous manque potentiellement quelques parties, notamment celle de Warthson - toujours disparu à l'heure où j'écris ces lignes.

Toutefois, je ne peux m'empêcher de penser qu'il y a certainement un sens à cette comptine. Commençons donc à y réfléchir.

Caliel

« A l'heure des astres fous, bien heureux les croyants... »
« ...Là où les morts se liguent, à l'ombre du dément. »

« Sous l'augure des frimas, le joyau perdu se ternit... »
« ...Car en l'absence de rois, seule survit l'hystérie. »

« Dans le berceau des embruns, là où nul nuage n'est blanc »
« ...Le dernier lit souillé a laissé partir son enfant. »

« Sur les dunes d'or et brûlantes, un bambin s'est assis..., »
« ... Assoiffé et éteint, son repos s'obscurcit. »

« ...Finalement, la reine se drapera d'un carcan
Lorsque la Balade annoncera l'ouragan. »